Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des itinéraires battus par les sabots des chevaux et les pas des maraîchers, une masculinité vivait en retrait, à l’orée des rêve. Sa maison, bâtie de pierre et de filet morne, exhalait très une odeur d’herbes https://finniquxy.liberty-blog.com/33675396/la-nuit-des-cendres-et-de-la-voyance