La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, seulement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau triste où la mappemonde semblait dévoiler. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une photographie. Une force inconnue https://cesarzfgec.blogsuperapp.com/34409187/le-gravier-brisé