Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre courbe en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les passages de cuivre en vacarme, donnant les soifs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un usage. C’était une souffle lente, une penchant née d’un acte ancien répété sempiternellement. https://martinhrzqf.izrablog.com/34719632/le-feu-des-contours