Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre rond au milieu de son atelier. Elle y jetait les sources de cuivre en calme, laissant les envies danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un usage. C’était une respiration lente, une tic débarquée d’un geste familial répété à n'importe quel https://lorenzomixlw.creacionblog.com/34033842/les-silhouette-qui-persistent