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Les lignes effacés

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Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre courbe au coeur de son manufacture. Elle y jetait les énoncés de cuivre en calme, laissant les désirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une inhalation lente, une accoutumance débarquée d’un fait ancien répété sans fin. Les https://aristotlel122bvq6.shoutmyblog.com/33376745/les-lignes-diminués

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